The Book of Negroes

Réalisation Clement Virgo
Année 2015
Durée 265min
Genre Drame
Une minisérie de CBC basée sur le roman à succès international de l’auteur canadien Lawrence Hill. Une histoire captivante sur la perte, le courage, l’amour et le triomphe de l’esprit humain, ce récit suit le parcours extraordinaire d’Aminata Diallo (Ellis), une femme africaine indomptable.

En 1750, âgée de 11 ans, la jeune Aminata est kidnappée dans son village natal en Afrique de l’Ouest et elle commence alors un périple intense qui la transporte à travers la dure épreuve qu’est l’esclavage, la tourmente de la révolution américaine et qui la mène ultimement à la liberté dans la colonie britannique de la Nouvelle-Écosse. Brillante et déterminée, Aminata est une héroïne remarquable dont les liens inébranlables avec son patrimoine africain la guident à travers des obstacles inimaginables dans sa quête pour la liberté et ultimement lui permettent d’assumer le rôle de leader pour lequel elle était destinée.

Profondément émouvant et inspirant, The Book of Negroes explore de dures réalités historiques à travers le regard inébranlable d’une forte femme protagoniste dont l’histoire restera avec vous longtemps après avoir été racontée.

Réalisation

Clement Virgo

Clement Virgo s’est fait connaître grâce à son premier long métrage, Rude, qui a été présenté en première au Festival de Cannes et a obtenu deux nominations aux prix Génie. Il a également réalisé les films Poor Boy’s Game et Lie With Me, ainsi que des séries télévisées à succès comme The Wire, Regenesis et The Listener. Il a récemment produit la série Greenleaf et réalisé des épisodes de Empire et de Billions. Son film le plus récent, Brother, a été présenté en première au Festival international du film de Toronto de 2022.

Scénaristes

Lawrence Hill, Clement Virgo

Distribution

Aunjanue Ellis, Lyriq Bent, Cuba Gooding, Jr, Ben Chaplin, Allan Hawco

Producteurs

Damon D'Oliveira, Clement Virgo

Genre

Drame

Intérêts

Adaptation littéraire, Histoire, Histoires PANDC, Politiques et justice sociale

Langue originale

Anglais

Pontypool

Réalisation Bruce McDonald
Année 2008
Durée 93min
Genre Comédie, Horreur, Science-fiction/Fantastique
Grant Mazzy (McHattie), DJ à la station de radio d’une grande ville, perd son boulot et déménage dans la petite ville ontarienne de Pontypool, où il tombe sur les nerfs de sa nouvelle directrice de station, Sydney (Houle).

Habituellement, il ne se passe rien à Pontypool, et lorsqu’un matin d’hiver, Mazzy arrive à la station pour commencer son émission, lui et son équipe sont étonnés de recevoir d’étranges nouvelles en provenance de la ville.

La petite équipe de la station se trouve retranchée dans le studio qui se trouve dans le sous-sol d’une église, essayant de comprendre ce qui se passe dehors, tandis que des renseignements de plus en plus sordides leur parviennent. Les personnes qui appellent tiennent des propos incohérents, et il semble que la langue anglaise elle-même soit infectée par un étrange virus. Sinistre et rempli de suspense, Pontypool joue sur les mots et leur signification et vous tiendra en haleine jusqu’à la toute fin.

Réalisation

Bruce McDonald

Bruce McDonald a réalisé les films cultes Highway 61, Roadkill, Hard Core Logo, The Tracey Fragments, mettant en vedette Elliot Page, Pontypool, la série primée Twitch City et des épisodes de Degrassi et Heartland. Ses films récents comprennent Trigger, The Husband, Hellions, Weirdos et Dreamland. Il a récemment réalisé les séries Creeped Out et Malory Towers et travaille actuellement à la réalisation des films Switched at Death et I Have a Bad Feeling About This.

Scénariste

Tony Burgess

Distribution

Stephen McHattie, Lisa Houle, Georgina Reilly

Producteurs

Jeffrey Coghlan, Ambrose Roche

Genres

Comédie, Horreur, Science-fiction/Fantastique

Intérêts

Adaptation littéraire, Film culte et décalé

Langue originale

Anglais

Barney’s Version (Le monde de Barney)

Réalisation Richard J. Lewis
Année 2010
Durée 134min
Genre Comédie, Drame
Le monde de Barney raconte l’histoire de Barney, interprété par Paul Giamatti — une performance qui lui a valu un Golden Globe. Alors qu’on suit Barney de son enfance jusqu’à sa vieillesse, on le voit passer d’une relation amoureuse à une autre, tenter de contrôler les exubérances de son père (Hoffman) tout en étant poursuivi par un policier qui le soupçonne d’avoir assassiné son meilleur ami Boogie (Speedman).

Basé sur le best-seller du même nom, écrit par Mordecai Richler et gagnant du prix Giller, ce film humoristique et profond s’est mérité sept prix Génie et a été nommé pour un Oscar.

« Ce film à la distribution impeccable, menée par un Paul Giamatti parfaitement juste, nous transporte agilement à travers 4 décennies de la vie tumultueuse du personnage principal avec exubérance, grand sens visuel et, surtout, avec grâce. » — Michael Rechtshaffen, Hollywood Reporter

Réalisation

Richard J. Lewis

À la télévision, Richard J. Lewis a notamment réalisé des épisodes de Due South, Power Play, Beggars and Choosers, CSI: Crime Scene Investigation et Person of Interest. Acclamé par la critique, son premier long métrage, Whale Music, a remporté quatre prix Génie. Richard J. Lewis a réalisé des épisodes de Westworld et Penny Dreadful pour la télévision. Il produit actuellement la série Trigger Me.

Scénariste

Michael Konyves

Distribution

Paul Giamatti, Rosamund Pike, Scott Speedman, Dustin Hoffman, Minnie Driver

Producteur

Robert Lantos

Genres

Comédie, Drame

Intérêts

Adaptation littéraire, Rapports familiaux

Langue originale

Anglais

Vinyl

Réalisation Alan Zweig
Année 2000
Durée 110min
Genre Documentaire
Le documentaire culte d'Alan Zweig fouille la comédie et la tragédie des collectionneurs de disques, qui rassemblent plusieurs célébrités d’audiophiles, de vendeurs, de DJ, de fans d’Elvis et d’enthousiastes du jazz hot.

Un collectionneur dévoué lui-même, Zweig s’en sert du miroir pour confessionner et pour condamner sa compulsion antisociale, au moment où il aborde ses interviewés avec de la compassion à cœur ouvert.

Avec ce film, Zweig s’établit en tant que documentariste qui ne se satisfait pas de se cacher derrière les rideaux pour observer ses personnages. En revanche, il emploie sa caméra en tant qu’outil d’engagement, fouillant les marges de la société contemporaine pour explorer à propos de la beauté, de l’addiction, de l’amour et de la nostalgie, d’une façon profonde et unique.

Réalisation

Alan Zweig

Scénariste

Alan Zweig

Distribution

Alan Zweig, Harvey Pekar, Alan Williams, Don McKellar

Producteurs

Alan Zweig, Greg Klymkiw, Bruce McDonald, David McCallum

Genre

Documentaire

Intérêts

Arts et culture, Film culte et décalé

Langue originale

Anglais

Nobody Waved Good-bye (Départ sans adieux)

Réalisation Don Owen
Année 1964
Durée 80min
Genre Drame
Tourné en 1960, à Toronto, en seulement trois semaines, ce film de Don Owen — initialement destiné à être un documentaire — est devenu rapidement un récit d’arrivée à l’âge adulte, qui a enchanté les spectateurs depuis des décennies par son honnêteté et son intégrité émotionnelle.

Peter (Kastner) est un jeune de 18 ans qui a grandi en banlieue de Toronto dans les années 1960. Il en a marre du style de vie de la classe moyenne, à laquelle appartiennent ses parents. Il est sur le point de finir l’école secondaire, mais l’idée d’une vie conventionnelle où il devrait gravir l’échelle corporative lui semble insupportable.

Peter brûle d’envie de s’établir à son compte avec sa copine Julie, mais une vie de délinquance et de mauvaises décisions se profile. Racontée en noir et blanc d’une façon austère, cette histoire de révolte adolescente est éternelle et éveille de l’empathie.

Un de premiers films narratifs de l’Office national du film, Départ sans adieux est un trésor cinématographique et un véritable classique canadien.

Réalisation

Don Owen

Scénariste

Don Owen

Distribution

Peter Kastner, Julie Biggs, Claude Rae, Charmion King

Producteurs

Tom Daly, Roman Kroitor, Don Owen

Genre

Drame

Intérêts

Classiques, Rapports familiaux

Langue originale

Anglais

One Week (Sept jours)

Réalisation Michael McGowan
Année 2008
Durée 94min
Genre Drame
Ben Tyler (Jackson) est un jeune homme qui a une vie confortable, un bon travail — il est professeur d’anglais — et une fiancée particulièrement terre à terre, Samantha (Balaban). Lorsque son médecin lui annonce tout à coup qu’il a un cancer et qu’il ne lui reste à vivre qu’« au mieux deux ans, au pire une semaine », le seul espoir de Ben est de commencer immédiatement un traitement. Pourtant, il décide au contraire de s’acheter une moto et de partir vers l’ouest.

Film de route classique mettant en vedette bon nombre d’icônes canadiennes (dont Gord Downie du groupe The Tragically Hip), Sept jours raconte le voyage de Ben de Toronto à Tofino. Sur la route, Ben se fait de nouveaux amis, remet en question sa vie, son métier et son mariage prochain.

Alors que sa fiancée et sa famille ont du mal à comprendre sa décision, Ben se redécouvre, réveille sa vieille passion pour l’écriture et, au bout du compte, apprend à apprécier la vie.

Réalisation

Michael McGowan

Michael McGowan a fait ses débuts au cinéma en tant que scénariste, réalisateur et producteur avec My Dog Vincent. Il a ensuite réalisé Saint Ralph, One Week, Score: A Hockey Musical et Still Mine, qui a été désigné par le Festival international du film de Toronto comme l’un des dix meilleurs films canadiens de 2012. Il a récemment réalisé les séries télévisées Reign et Between et a écrit le film The Etruscan Smile. Son film le plus récent, All My Puny Sorrows, a été présenté en première au Festival international du film de Toronto de 2021.

Scénariste

Michael McGowan

Distribution

Joshua Jackson, Liane Balaban, Campbell Scott, Fiona Reid

Producteurs

Nicholas de Pencier, Jane Tattersall, Michael McGowan

Genre

Drame

Intérêts

L'anglais en langue seconde, Rapports familiaux

Langue originale

Anglais

Manufacturing Consent: Noam Chomsky and the Media

Réalisateurs Mark Achbar, Peter Wintonick
Année 1992
Durée 167min
Genre Documentaire
Dans ce documentaire fascinant et toujours d’actualité, le linguiste et activiste politique libéral Noam Chomsky présente ses idées sur la façon dont les médias de masse nuisent aux intérêts fondamentaux de la démocratie. Il soutient que les entreprises qui contrôlent les médias que consultent la majorité des gens pour s’informer de l’actualité choisissent de manière sélective les sujets à couvrir dans le but de servir leurs propres intérêts, au lieu d’agir comme les sources de nouvelles impartiales qu’elles devraient être.

Réalisé par Mark Achbar, qui a plus tard signé The Corporation, et feu Peter Wintonick, l’un des plus grands documentaristes du Canada, Chomsky, les médias et les illusions nécessaires est une analyse fascinante de la façon dont la société et les médias sont à la remorque des intérêts des grandes entreprises, et une leçon de base expliquant comment être un citoyen bien informé malgré tout.

Réalisateurs

Mark Achbar, Peter Wintonick

Producteurs

Mark Achbar, Peter Wintonick, Adam Symansky

Genre

Documentaire

Intérêts

Arts et culture, Histoire, Politiques et justice sociale

Langue originale

Anglais

Prom Night

Réalisation Paul Lynch
Année 1980
Durée 92min
Genre Horreur
« Si tu n’es pas de retour avant minuit, tu ne rentreras pas chez toi ! » Ainsi dit l’affiche effrayante du Prom Night, le film d’horreur canadien classique de Paul Lynch. La prémisse est mortellement simple : un tueur inconnu cherche de se venger de quatre adolescents pour la mort accidentelle d’une de ses collègues, six ans auparavant. Le bal des finissants pourrait être leur dernière nuit.

Ce film d’horreur mémorable a été refait en 2008, mais nous gardons bien l’originel ! Ce film culte macabre et follement amusant a été un succès des ciné-parcs partout dans le pays, et a valu à Jamie Lee Curtis une nomination au prix Génie.

Réalisation

Paul Lynch

Scénaristes

Robert Guza Jr., William Gray

Distribution

Leslie Nielsen, Jamie Lee Curtis, Casey Stevens

Producteur

Peter R. Simpson

Genre

Horreur

Intérêts

Classiques, Film culte et décalé

Langue originale

Anglais

In Her Place

Réalisation Albert Shin
Année 2014
Durée 115min
Genre Drame
Dans ce drame fascinant du scénariste-réalisateur Albert Shin, un couple fortuné de Séoul cherche à adopter secrètement l’enfant à naître d’une adolescente perturbée vivant dans une ferme isolée dans la campagne sud-coréenne. À mesure qu’avance la grossesse, la transaction commerciale se complique beaucoup plus que prévu.

Tourné dans la campagne brumeuse de la Corée du Sud, le film traite ses trois personnages avec la même sympathie, et Shin livre ici un drame honnête et puissant au dénouement tragique.

Réalisation

Albert Shin

Scénaristes

Pearl Ball-Harding, Albert Shin

Distribution

Ji-hye Ahn, Hae-yeon Kil, Kyung-Ik Kim, Da-Kyung Yoon

Producteurs

Igor Drljaca, Albert Shin, Hyun Chan Yoon

Genre

Drame

Intérêts

Cinéaste asiatique, Histoires du monde, Histoires PANDC

Langue originale

Autre langue

Hurt

Réalisation Alan Zweig
Année 2015
Durée 84min
Genre Documentaire
Dans ce film qui jette un regard honnête sur la fabrication des héros — et sur ce qu’il advient d’eux par la suite — le documentariste acclamé Alan Zweig raconte l’histoire de Steve Fonyo, un homme qui traversé le Canada au pas de course à l’âge 19 ans après avoir perdu une jambe à cause du cancer, suivant ainsi les traces de Terry Fox et amassant des millions de dollars pour la recherche sur le cancer.

Si son marathon caritatif de 1984 a connu un succès retentissant, ses « exploits » subséquents — emplois précaires et petits méfaits — l’ont mené à la ruine et obligé à vivre dans un des quartiers les plus durs du Canada. L’incroyable course qui fut la plus grande réalisation de sa vie est aujourd’hui un écrasant fardeau.
Ce portrait rare et sensible que brosse Zweig d’un héros complexe et éphémère a remporté le premier prix Platform au Festival international du film de Toronto en 2015.

Réalisation

Alan Zweig

Scénariste

Alan Zweig

Distribution

Steve Fonyo

Producteurs

Peter Gentile, Mikey Lalonde

Genre

Documentaire

Thème

Biographie

Langue originale

Anglais