Alias Grace

Réalisation Mary Harron
Année 2017
Durée 267min
Genre Drame
Inspiré de faits réels, Alias Grace raconte l'histoire de Grace Marks (Gadon), une gouvernante condamnée pour les meurtres de ses employeurs au milieu des années 1800. Lorsqu'un psychiatre, le Dr Jordan (Holcroft), est appelé pour évaluer son état, Grace a l'occasion de donner sa version des faits et de plaider son innocence. Dans le cadre de cette affaire très médiatisée, où le grand public est impatient de connaître le résultat de leurs séances, le Dr Jordan tente des approches de plus en plus radicales, tout en développant graduellement des sentiments romantiques pour Grace. Alors que leur relation atteint son point culminant, des secrets qui changeront leurs vies respectives à jamais sont révélés.

Adaptée du roman éponyme de Margaret Atwood, récompensé par le prix Giller, cette mini-série largement acclamée a remporté cinq Prix Écrans canadiens, dont celui de la catégorie « Best limited series ».

Réalisation

Mary Harron

Cinéaste et scénariste canadienne primée, Mary Harron a également été une critique dans le domaine du divertissement. Elle est reconnue pour la scénarisation et la réalisation de plusieurs films indépendants, notamment I Shot Andy Warhol, et pour la coscénarisation et la réalisation de American Psycho. Son film le plus récent, Daliland, mettant en vedette Sir Ben Kingsley, a été présenté en première au Festival international du film de Toronto de 2022.

Scénariste

Sarah Polley

Distribution

Edward Holcroft, Rebeccah Liddiard, Sarah Gadon

Producteurs

Sarah Polley, D.J. Carson

Genre

Drame

Intérêts

Adaptation littéraire, Biographie, Femmes cinéastes, Histoire

Langue originale

Anglais

Rise: Sacred Water – Standing Rock Part 1

Réalisation Michelle Latimer
Année 2017
Durée 45min
Genre Documentaire
Dans cette nouvelle série percutante de VICELAND, l’animatrice anishinaabe Sarain Carson-Fox se rend dans des communautés autochtones partout en Amérique pour explorer la vie autochtone à l’ère moderne, levant le voile pour une rare fois sur la ligne de front de la résistance menée par les Autochtones.

Dans ces deux épisodes, les gens de la réserve sioux de Standing Rock dans le Dakota du Sud se battent pour empêcher le Dakota Access Pipeline de traverser leurs terres ancestrales. Ce récit captivant de la protestation et de l’occupation, qui ont finalement mobilisé 10 000 personnes, déborde de leçons d’histoire et de discussions sur la vie dans les réserves. 

Ces épisodes fascinants et émouvants ont été présentés en première au Festival du film de Sundance et ont fait la lumière sur cet enjeu crucial.

Réalisation

Michelle Latimer

Le premier court métrage de la cinéaste et actrice, Choke, a été présenté en première au festival du film de Sundance. Michelle Latimer compte à son actif plusieurs autres documentaires et courts métrages de fiction comme The Underground et Nuuca. Elle a réalisé les séries télévisées Rise, Burden of Truth et Trickster.

Distribution

Gitz Crazyboy (Blackfoot/Dene), Sarain Carson-Fox (Anishinaabe)

Producteur

Jarrett Martineau (nēhiyaw/Dene Sųłiné)

Genre

Documentaire

Intérêts

Cinéaste autochtone, Discrimination, Environnement, Femmes cinéastes, Histoire, Histoires PANDC, Politiques et justice sociale

Langue originale

Anglais

Rise: Red Power – Standing Rock Part 2

Réalisation Michelle Latimer
Année 2017
Durée 44min
Genre Documentaire
Dans cette nouvelle série percutante de VICELAND, l’animatrice anishinaabe Sarain Carson-Fox se rend dans des communautés autochtones partout en Amérique pour explorer la vie autochtone à l’ère moderne, levant le voile pour une rare fois sur la ligne de front de la résistance menée par les Autochtones.

Dans ces deux épisodes, les gens de la réserve sioux de Standing Rock dans le Dakota du Sud se battent pour empêcher le Dakota Access Pipeline de traverser leurs terres ancestrales. Ce récit captivant de la protestation et de l’occupation, qui ont finalement mobilisé 10 000 personnes, déborde de leçons d’histoire et de discussions sur la vie dans les réserves. 

Ces épisodes fascinants et émouvants ont été présentés en première au Festival du film de Sundance et ont fait la lumière sur cet enjeu crucial.

Réalisation

Michelle Latimer

Le premier court métrage de la cinéaste et actrice, Choke, a été présenté en première au festival du film de Sundance. Michelle Latimer compte à son actif plusieurs autres documentaires et courts métrages de fiction comme The Underground et Nuuca. Elle a réalisé les séries télévisées Rise, Burden of Truth et Trickster.

Distribution

Sarain Carson-Fox (Anishinaabe), Gitz Crazyboy (Blackfoot/Dene)

Producteur

Jarrett Martineau (nēhiyaw/Dene Sųłiné)

Genre

Documentaire

Intérêts

Cinéaste autochtone, Discrimination, Environnement, Femmes cinéastes, Histoire, Histoires PANDC, Politiques et justice sociale

Langue originale

Anglais

The Stone Angel (L’ange de pierre)

Réalisation Kari Skogland
Année 2007
Durée 115min
Genre Drame

L’héroïne tant louangée de Margaret Laurence, Hagar Shipley, a peut-être 90 ans mais elle n’est pas encore prête à se laisser mourir. Lorsque son fils, Marvin (Dylan Baker), décide de l’emmener visiter une maison de retraite, elle considère ceci comme un signal lui annonçant qu’il est temps de laisser sa famille et d’entreprendre un dernier voyage. Sa mission consiste à retrouver une maison au bord de la mer dont elle se rappelle du temps où elle était jeune, mais la mémoire de Hagar s’estompe rapidement, lui rendant la tâche difficile de différencier le passé du présent. Alors qu’elle se dirige vers le bord de la mer, Hagar réalise qu’il lui reste bien trop peu de temps pour se rattraper de toute une vie d’erreurs inavouées.

Réalisation

Kari Skogland

Scénariste

Kari Skogland

Distribution

Ellen Burstyn, Dylan Baker, Sheila McCarthy, Judy Marshak

Producteurs

Kari Skogland, Liz Jarvis

Genre

Drame

Intérêts

Adaptation littéraire, Femmes cinéastes, Histoire

Langue originale

Anglais

Mariages

Réalisation Catherine Martin
Année 2001
Durée 95min
Genre Drame, Romantique, Science-fiction/Fantastique

La Québécoise Catherine Martin a fait ses débuts comme réalisatrice avec ce film qui raconte l’histoire d’une femme du 19e siècle confrontée à l’austérité de l’époque victorienne. Yvonne (Marie-Ève Bertrand), une jeune femme de 20 ans à l’esprit libre, est en conflit avec sa sœur Hélène (Guylaine Tremblay), une femme prude et stricte qui tente de l’assagir.

Hélène veut envoyer sa sœur au couvent, mais lorsque Yvonne s’éprend du séduisant Charles (David Boutin), Hélène élabore un plan pour les séparer et s’arrange pour que celui-ci épouse sa propre fille adolescente. Refusant de renoncer à sa passion amoureuse, Yvonne s’enfuit dans la forêt à la recherche d’une solution.

Ce drame historique finement ciselé a reçu le prix du Meilleur long métrage de l’Association québécoise des critiques de cinéma en 2001.

Réalisation

Catherine Martin

Scénariste

Catherine Martin

Distribution

Marie-Ève Bertrand, Guylaine Tremblay, Hélène Loiselle

Producteur

Lorraine Dufour

Genres

Drame, Romantique, Science-fiction/Fantastique

Intérêts

Femmes cinéastes, Histoire, Rapports familiaux

Langue originale

Français

La passion d’Augustine

Réalisation Léa Pool
Année 2015
Durée 103min
Genre Drame

Céline Bonnier joue le rôle de Mère Augustine, une religieuse catholique passionnée et résiliente qui enseigne la musique à des enfants de toutes les conditions sociales dans un couvent du Québec rural des années 1960. Lorsque sa nièce rebelle, mais douée pour la musique (Lysandre Ménard) arrive au couvent, Mère Augustine doit faire face à un passé qu’elle essaie d’oublier.

Avec les changements qu’annoncent Vatican II et la Révolution tranquille qui secoue le Québec, le gouvernement provincial menace de fermer le couvent au profit d’une école publique, et Mère Augustine doit faire un examen de conscience pour trouver une solution – ou peut-être une nouvelle vocation. Comme les autres religieuses, Augustine doit affronter les vagues de la modernité, mais pourra-t-elle aller de l’avant, ou périra-t-elle avec la tradition?

Le film a été mis en nomination pour deux prix Écrans canadiens, soit celui de la Meilleure actrice pour Céline Bonnier et celui de la Meilleure musique originale.

Réalisation

Léa Pool

Léa Pool a obtenu trois nominations aux prix Génie pour la meilleure réalisation. Sa filmographie comprend Emporte Moi, Mouvements du désir, Lost and Delirious, La dernière fugue et le documentaire Pink Ribbons, Inc. Parmi ses films récents figurent le documentaire Double Sentence et les longs métrages La passion d’Augustine et Et au pire, on se mariera.

Scénaristes

Léa Pool, Marie Vien

Distribution

Céline Bonnier, Lysandre Ménard

Producteurs

Lyse Lafontaine, François Tremblay

Genre

Drame

Intérêts

Arts et culture, Femmes cinéastes, Histoire

Langue originale

Français

Birth of a Family (Naissance d’une famille)

Réalisation Tasha Hubbard (Cree)
Année 2016
Durée 79min
Genre Documentaire

Dans ce documentaire profondément touchant, trois sœurs et un frère se rencontrent pour la première fois après avoir été enlevés très jeunes à leur mère dénée et élevés dans des familles distinctes disséminées en Amérique du Nord.

Betty Ann, Esther, Rosalie et Ben font partie des quelque 20 000 enfants autochtones qui ont été retirés de leurs foyers entre 1955 et 1985 pour être pris en charge par le système de protection de la jeunesse dans le cadre de la « rafle des années soixante », une politique qui s’inscrivait dans la même tentative d’assimilation forcée que les pensionnats autochtones.

Pendant plusieurs décennies, Betty Ann a travaillé sans relâche pour retrouver sa fratrie, dont les membres avaient eu des parcours très différents. Aujourd’hui, ils sont réunis pour la première fois, habités par la tristesse, mais réconfortés par la joie de connaître enfin leur véritable histoire.

Réalisation

Tasha Hubbard (Cree)

Cinéaste primée, Tasha Hubbard est également professeure adjointe au département d’anglais de l’Université de la Saskatchewan. Le film Two Worlds Colliding, qu’elle a écrit et réalisé, a remporté un prix Gemini ainsi qu’un prix Golden Sheaf. Elle a également réalisé le court métrage 7 Minutes et les films documentaires Birth of a Family and nîpawistamâsowin: We Will Stand Up, qui a remporté le prix du meilleur documentaire canadien au festival Hot Docs et à la remise des prix Écrans canadiens. Tasha Hubbard réalise actuellement le long métrage documentaire Singing Back the Buffalo.

Scénaristes

Betty Ann Adam (Dene), Tasha Hubbard (Cree)

Producteur

Bonnie Thompson

Genre

Documentaire

Intérêts

Biographie, Cinéaste autochtone, Des pistes féminines fortes, Discrimination, Femmes cinéastes, Histoire, Histoires PANDC, L'anglais en langue seconde, Politiques et justice sociale, Rapports familiaux

Langue originale

Anglais

Rise: The Urban Rez

Réalisation Michelle Latimer
Année 2017
Durée 44min
Genre Documentaire
C’est à Winnipeg que se trouve la plus grande population autochtone urbaine du pays, dont un important pourcentage vit dans un quartier défavorisé où le taux de criminalité est le plus élevé de la ville. Devant le nombre effarant de cas de femmes et de filles autochtones disparues, la communauté a décidé de prendre les choses en main, travaillant auprès des résidents pour les aider, les protéger et améliorer leurs vies.

Dans ce documentaire, Gitz Crazyboy (Pied-Noir, Déné) nous fait découvrir les braves combattants qui se consacrent à la cause, et se penche sur les facteurs sous-jacents et les traumatismes intergénérationnels qui sont à la source de cet environnement difficile.

Réalisation

Michelle Latimer

Le premier court métrage de la cinéaste et actrice, Choke, a été présenté en première au festival du film de Sundance. Michelle Latimer compte à son actif plusieurs autres documentaires et courts métrages de fiction comme The Underground et Nuuca. Elle a réalisé les séries télévisées Rise, Burden of Truth et Trickster.

Distribution

Sarain Carson-Fox (Anishinaabe), Gitz Crazyboy (Blackfoot/Dene)

Producteur

Jarrett Martineau (nēhiyaw/Dene Sųłiné)

Genre

Documentaire

Intérêts

Cinéaste autochtone, Discrimination, Environnement, Femmes cinéastes, Histoire, Histoires PANDC, Politiques et justice sociale

Langue originale

Anglais

Speakers for the Dead

Réalisateurs Jennifer Holness, Sudz Sutherland
Année 2000
Durée 49min
Genre Documentaire
La quête pour restaurer un cimetière oublié dans la campagne ontarienne divise une communauté et révèle des vérités profondes sur l'histoire méconnue de la communauté Noire au Canada. Dans les années 1930, un fermier a enterré les pierres tombales d'un cimetière dédié aux personnes Noires pour y cultiver un champ de pommes de terre. Cinquante ans plus tard, les descendants des premiers colons, Noirs et blancs, tentent de retrouver ce qui reste de cette histoire, mais se heurtent à l'opposition farouche de certaines personnes selon qui la vérité devrait rester enfouie.

Combinant des entretiens avec les résidents avec des reconstitutions et des séquences de l'excavation du cimetière, ce documentaire évocateur met en lumière un aspect important, mais rarement abordé de l'histoire canadienne.

Réalisateurs

Jennifer Holness

Réalisatrice, scénariste et productrice, Jennifer Holness a notamment produit les films primés Stateless, Guns, et Love, Sex, and Eating the Bones ainsi que des séries, dont She’s the Mayor et Shoot the Messenger. Elle a écrit et réalisé Subjects of Desire et a récemment reçu le prix Established Producer de la Canadian Media Producers Association. Jennifer Holness a réalisé un épisode de la série BLK: An Origin Story. Elle produira prochainement le long métrage Rip Tide.

Producteur

Peter Starr

Genre

Documentaire

Intérêts

Cinéaste Noir, Femmes cinéastes, Histoire, Histoires PANDC, Politiques et justice sociale

Langue originale

Anglais

Stories We Tell (Les histoires qu’on raconte)

Réalisation Sarah Polley
Année 2012
Durée 108min
Genre Documentaire
Ce qui commence comme une quête cinématographique pour sa mère, décédée quand Sarah Polley n’avait qu’onze ans, devient une sorte d’histoire policière vers des secrets sur le réalisateur-même qui sont enterrés depuis toujours. Assemblant des entrevues avec des archives-vidéo et des adaptations, Polley explore l’essence de la famille et les conspirations qu’on crée pour protéger les liens que nous chérissons avec nos proches.

Au fur et à mesure que Polley interroge chacun de ses personnages, des récits contradictoires émergent, et des efforts entrepris pendant longtemps pour cacher des vérités pénibles, deviennent éventuellement futiles.

Les « histoires qu'on se raconte », que toutes les familles se racontent d’une façon ou d’une autre, finissent par obscurcir aussi autant qu’elles éclairent, et l’idée même du récit est questionnée, de façon poignante et fascinante en même temps.

Réalisation

Sarah Polley

Sarah Polley a obtenu une nomination aux Oscars dans la catégorie du meilleur scénario pour Away From Her. Elle a également réalisé les films Take This Waltz et Stories We Tell. Elle a scénarisé et produit Alias Grace, une mini-série basée sur le roman de Margaret Atwood, dont la première a eu lieu au Festival international du film de Toronto de 2017. En 2022, elle a publié le recueil d’essais Run Toward the Danger. Son film le plus récent, une adaptation de Women Talking de Miriam Toews, a été présenté en première au Festival international du film de Toronto en 2022.

Scénariste

Sarah Polley

Producteurs

Silvia Basmajian, Anita Lee

Genre

Documentaire

Intérêts

Biographie, Femmes cinéastes, Histoire

Langue originale

Anglais